Gramophone

A propos du disque « The Experts : the Bach & Silbermann Dynasties »

« L’un des premiers points forts est le combat fabuleusement étincelant entre les musiciens et les textures instrumentales qu’est Bestion de Camboulas et Clément Geoffroy sur le Duett en mi bémol, H613, de CPE Bach, pour clavecin et pianoforte. Non moins frappante est la flottabilité suave avec laquelle la Sonate en trio n° 3 en ré mineur, BWV527, de Johann Sebastian, est expédiée, Bestion de Camboulas toujours au clavecin. »

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Par |2024-11-08T11:52:33+01:00novembre 8th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

Crescendo

A propos de « Bach en famille »

« Ainsi, le concert « Bach en famille » proposé par l’Ensemble Les Surprises a su marier habilement l’érudition et la convivialité, offrant un formidable puzzle musical. La performance, portée par le talent de Louis-Noël Bestion de Camboulas et la voix exceptionnelle de Marc Mauillon, a ravi le public en mettant en lumière des œuvres composites qui auraient pu résonner au Café Zimmermann. »

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Par |2024-10-25T10:31:48+02:00octobre 25th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

ResMusica

A propos de « La Passion selon Saint Jean »

A la tête de l’ensemble, le claveciniste  accentue les contrastes, n’a pas peur des silences et des sons sculptés pour rendre à cette œuvre sa force édificatrice.  défend prodigieusement les récitatifs de l’Evangéliste, irriguant de sang et de profondeurs chacune de ses interventions. Toutes aussi dramatiques sont les interventions du Jésus de , baryton au timbre séduisant mordant dans les mots, et du ténor ductile et impérieux d’. Les soprano Eugénie Lefebvre et  ainsi qu’ Etienne Bazola tout trois très à l’aise dans ce répertoire complètent magnifiquement cette distribution qui saurait presque ménager un suspens dramatique à l’œuvre.

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Par |2024-08-20T11:27:57+02:00août 20th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

Olyrix

A propos du disque « Te Deum »

« Dès les premières mesures, la vivacité des cuivres et la virtuosité des percussions frappent l’oreille, et dans ce matériau éclatant et aérien se fondent des cordes chaleureuses et souples, avec des bois caressants et suaves. L’auditeur est également rapidement saisi par la couleur fluide et compacte du chœur, qui gratifie tout au long des deux œuvres d’un éventail de couleurs étoffé, des nuances à propos et bien amenés, sans jamais tomber dans un excès d’agressivité ou de dolorisme, alternant la flamboyance des grands ensembles, à la solennité limpide, et des moments suspendus de méditation spirituelle et d’intériorité. »

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Par |2024-06-03T17:13:52+02:00juin 3rd, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

ClassiqueNews

A propos de « Médée et Jason »

« Sous-titré « parodie baroque », ce pastiche moderne se moque allègrement de la tragédie classique et lyrique dans la pure tradition du genre. Les chanteurs aguerris dans l’exercice et les musiciens polyvalents de l’Ensemble Les Surprises, sous la direction de son chef-fondateur Louis-Noël Bestion de Camboulas, font rire la salle entière du début à la fin du spectacle, dans la mise en scène piquante de Pierre Lebon. »

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Par |2024-03-13T14:23:12+01:00mars 13th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

Classica

A propos du disque « Te Deum » (Choc de Classica)

« Conviés à se lover dans un écrin sonore très étudié les chanteurs utilisent une palette de couleurs plus étendue que de coutume dans ce répertoire et apportent un soin nouveau à la réalisation ornementale. En évitant les stéréotypes, ce casting familier de la scène baroque a rarement fait sonner ce type de musique avec autant de conviction. […] Sitôt découvert le Te Deum de Desmarest a trouvé son interprétation de référence. »

Par |2024-03-13T14:21:45+01:00mars 13th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

Concerclassic

A propos de « Médée et Jason »

« On entend quand même beaucoup de belle musique, parce que les concepteurs sont allés chercher des extraits de tragédies de Rameau, Lully, de la Médée de Charpentier, forcément, et du Médée et Jason de François-Joseph Salomon (1713). Et parce que les chanteurs sont des interprètes habitués de ce répertoire. Sauf peut-être Flannan Obé, qu’on associe davantage à l’opérette, mais dont l’aisance dans l’aigu justifierait qu’on lui confie des rôles de haute-contre dans les divertissements, à défaut des héros.
Ingrid Perruche, qu’on a entendue superbe dans Lully dirigé par Christophe Rousset, est une Créuse niaise à souhait, mais il lui est du moins permis de joindre sa voix à celle d’Eugénie Lefebvre pour un charmant duo, ladite Eugénie Lefebvre se voyant confier la magnifique déploration de Jason qui conclut (presque) le spectacle sur une note grandiose. Matthieu Lécroart est un Créon qui sucre les fraises, mais glorieusement en voix. Quant à Lucile Richardot, on ne peut que redire toute l’admiration qu’inspire sa prestation. »

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Par |2024-02-26T11:51:23+01:00février 24th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

Diapason

A propos du disque « Te Deum »

« Dès les nuances du Prélude, Louis-Noël Bestion de Camboulas [propose] une mesure et une élégance toutes françaises, à mi-chemin entre célébration publique et dévotion privée. […]. Les couleurs du chœur se fondent sans que l’impact de ses interventions s’en trouve amoindri […]. A la tête d’un ensemble instrumental volubile et précis, délivrant de précieux moments d’intimité, le chef avance sans heurt parmi les brefs numéros de ce Te Deum pour mieux en préserver la cohérence. »

Par |2024-02-26T11:45:30+01:00février 20th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

ResMusica

A propos des « Te Deum »

« Ce découpage différent offre aux interprètes une marge de liberté dont s’empare, avec des ruptures de tempo fort judicieuses. Passons rapidement sur le Te Deum de Charpentier, dont les contrastes entre tutti et choeur de solistes sont parfaitement rendus. […] Une distribution vocale de qualité, un orchestre précis et riche en contrastes : l’ en grand effectif maîtrise parfaitement le style du grand motet. »

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Par |2024-01-29T12:57:58+01:00janvier 25th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire

ResMusica

A propos des « Odes »

« Pour ce qui est de la réalisation, il faut louer la grande maîtrise et la justesse de ton de l’ensemble Les Surprises, dans un répertoire qui, s’il ne représente pas sa spécialité, n’est pas tout à fait nouveau pour lui. Les dix-neuf instrumentistes sont excellents de bout en bout, et la riche cohorte de basses (violoncelle, viole de gambe, violone, basson, théorbe, orgue positif et clavecin) est bien exploitée pour varier couleurs et ambiances chez Blow et Purcell. Les douze chanteurs sont pleinement investis et parfaitement intelligibles, tant dans les parties de chœur que dans les interventions solistes. »

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Par |2024-01-29T12:55:28+01:00janvier 15th, 2024|Non classifié(e)|0 commentaire
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