ConcertoNet
Sortie du disque « Purcell – Tyrannic Love »
« Ou s’arrêtera-t-il ? Voilà la question que l’on se pose à chaque nouvelle réussite du jeune chef français Louis-Noël Bestion de Camboulas . Non pas que l’on souhaite le voir trébucher, bien au contraire, mais l’on reste admiratif de cette succession de projets au niveau artistique éloquent […] »
ResMusica
Sortie du disque « Purcell – Tyrannic Love »
« Les Surprises au sommet de leur art. »
Annulé – Méditations
LUN 15 MARS 2021
Saison Cathedra, Cathédrale de Bordeaux
Classique mais pas Has Been
Sortie du disque « Purcell in Love »
« L’ensemble nous emmène dans ses pérégrinations grâce à cette cohésion, cette complicité, ce souffle commun que nous leur connaissons bien. […] Les lignes mélodiques des mouvements lents sont effectuées sans difficultés apparentes, de façon si délicate que nous oublierions nous-même de respirer […]. Couleurs également pour l’orchestre qui sait se fondre comme un caméléon, devenant tantôt terrifiant, tantôt doux, grâce au travail d’instrumental effectué par le chef. »
Gramophone
Sortie du disque « Purcell – Tyrannic Love »
« The theme is love, but there’s nothing coy or sugary about either music or performances that embrace extremes of emotion and expression. […] There’s delight after delight here, both in repertoire – which includes plenty of lesser-known treasures – and performances. This is one French invasion to welcome with open arms. »
Thierry Hillériteau
Sortie du disque « Purcell in Love »
« Dès les premières mesures de ce nouvel opus des Surprises, on est séduit par l’énergie et le sens du théâtre qui s’en dégagent. Tout entier dédié à la figure amoureuse dans le théâtre musical de Henry Purcell et de ses contemporains anglais, ce voyage délicieusement contrasté est autant une célébration de l’opéra baroque anglais naissant (non avare de joyaux mélodique), que de la richesse insoupçonnée de la musique instrumentale qui accompagnait les représentations théâtrales à cette époque. […] Le passage à l’heure anglaise, plus que réussi, d’un ensemble que l’on savait jusque-là principalement attaché au baroque français, et qui fait pour son premier disque sous étique Alpha la preuve de son exemplaire versatilité. »